La rentrée littéraire d’automne 2020 chez DAVID !
Les Éditions David vous proposent une variété de livres que vous pourrez découvrir cet automne. Des essais autour de l’œuvre de François Paré, un roman policier signé Jacqueline Landry, un essai poétique sur les chutes du Niagara, un beau livre d’Andrée Christensen… voici quelques exemples de titres qui pourront bien garnir les tablettes de vos bibliothèques ou vos tables de nuit !
Notre rentrée littéraire s’ouvre sur la publication de deux ouvrages autour du travail de François Paré, chercheur de renom, qui a consacré les trente dernières années à l’étude des littératures et des cultures minorisées à travers le monde. Dans Le défi de la fragilité, collectif d’essais dirigé par Guy Poirier, Élise Lepage et Tara Collington, les auteurs proposent de prolonger les réflexions de Paré et de les mettre en application sur différents corpus littéraires. Dans La distance habitée, Paré tente de comprendre la naissance et la disparition des identités culturelles et linguistiques, sur d’autres bases que celles de la résistance et de la lutte pour la survie collective. (Voix savantes, août 2020)
Après Terreur dans le Downtown Eastside, Jacqueline Landry nous entraîne à nouveau dans un thriller haletant ayant comme toile de fond ce quartier inquiétant de Vancouver où cohabitent toxicomanes, prostituées criminels et sans-abri. Un tueur en série continue de semer la terreur dans la zone : une autre femme au corps mutilé est retrouvée sans vie près de la voie ferrée où passe le West Coast Express. Le psychopathe a modifié son modus operandi et étend désormais son terrain de chasse aux parcs et aux sentiers de la forêt. Les enquêteurs se lancent dans une traque sans précédent. Détresse au crépuscule, deuxième volet de la série Le Cri du West Coast Express. (Voix narratives, août 2020)
Dans son plus récent recueil, Ce matin, Paul Savoie nous propose des poèmes sur le désir, l’attente, la fascination, l’éblouissement, la peur et la transformation soudaine. Un matin, un peu avant l’aurore, le poète n’arrive pas à former la moindre image, lui qui a toujours souffert d’une surenchère de mots. Soudainement, alors qu’il s’avance vers la fenêtre, tout s’ouvre. Il sort. À ce moment précis, il sait que, désormais, rien ne sera plus jamais pareil. (Voix intérieures, août 2020)
Avec Niagara…la voie qui y mène, Nicole Champeau réussit à reconstruire l’histoire et la géographie de ce lieu mythique qui, avant d’être la destination touristique qu’on connaît, fut un haut-lieu sacré pour les peuples des Premières Nations et une cathédrale vivante du patrimoine français. Un essai dans lequel l’auteure de Pointe-Maligne, l’infiniment oubliée nous invite à l’accompagner dans une quête passionnante, à la fois historique, géographique, poétique, personnelle et identitaire. (Hors collection, septembre 2020)
Chambres rêvantes d’Andrée Christensen est un beau livre composé d’une soixantaine de collages et de poèmes inspirés par le monde onirique. Avec cette subtilité qui la caractérise, l’auteure et artiste visuelle nous invite à pénétrer dans l’étrangeté des images et de ses associations parfois inédites en nous amenant à les ressentir, à se les approprier pour les faire siennes. (Hors collection, septembre 2020)
Hélène Leclerc aborde dans La route des oiseaux de mer, son cinquième recueil de haïkus, les quatre saisons, de l’été au printemps suivant. Le Saint-Laurent, sans être présent dans tous les textes, est un fil blanc qui lie les petits et grands événements de ce journal où s’expriment toute la subtilité, la tendresse, la compassion du style de cette grande haïkiste. (Haïku, septembre 2020)
À venir plus tard cet automne, Sept nuits dans la vie de Chérie, un roman de Danièle Vallée inspiré par les toiles de Suzon Demers. Ce livre raconte l’histoire de Clarisse, une couturière bien tranquille, qui voit sa vie bousculée quand Éva, une jeune comédienne, lui commande une robe extravagante pour un premier rôle qu’elle doit jouer. D’abord amicale, la relation entre les deux femmes devient de plus en plus toxique à mesure qu’Éva multiplie les fausses pistes et semble calquer son comportement sur celui de Chérie, le personnage qu’elle incarne sur scène. (Indociles, octobre 2020).
Du côté de la littérature pour adolescents, paraîtra cet automne Le rôdeur de nuit, un thriller gothique et un récit initiatique de Drew Hayden Taylor, un auteur de la première nation ojibwée Curve Lake, en Ontario. Tiffany, une adolescente anishinaabe qui traverse une période difficile dans la réserve de Lac-aux-Loutres, fait la rencontre d’un être étrange, que son père a pris comme chambreur dans leur maison. Ce personnage s’avère être un homme ayant vécu dans le même village… il y a plus de 300 ans, parti en Europe où il aurait connu une fin tragique. Un roman magnifiquement traduit par Eva Lavergne. (14/18, octobre 2020)
Après le recueil collectif Kukaï. Une aventure poétique, qui avait popularisé le haïku à Québec, le Kukaï de Québec nous revient avec Dans les plis du tablier. Dirigé par André Vézina et Jeannine St-Amand, ce collectif rassemble près de 175 haïkus écrits par une trentaine d’auteurs de la région de Québec. Le choix de ces haïkus a été fait par un comité qui a privilégié la substance de ce genre et sa capacité à évoquer et à saisir l’instant. (Haïku, octobre 2020)
Afin de connaître tous les détails de notre programmation, consultez notre document de la rentrée.
Les Éditions David vous souhaitent une excellente rentrée d’automne ! Prenez soin de vous et au plaisir de vous retrouver (en personne ou sur le Web) pour de nouvelles aventures littéraires !