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SOUS LA DIRECTION DE DANIEL CASTILLO DURANTE ET PATRICK IMBERT
Les différents articles analysent la relation souvent complexe et conflictuelle entre les nouvelles économies du savoir, l’altérité, l’interculturel et des formes récentes d’exclusion. Tous les pays des Amériques, y compris les États-Unis et le Canada, ont vu croître le nombre de chômeurs et d’individus qui tombent sous le seuil de la pauvreté. La mondialisation, créatrice indéniable de richesses, a aussi fait place à une misère grandissante qui compromet l’avenir d’une bonne partie des pays des Amériques. La culture, dans ses rapports avec l’économie, montre comment les sociétés sont soumises à une « agonistique » généralisée des discours. C’est dans ce contexte que L’interculturel et l’économie à l’œuvre: les marges de la mondialisation attire l’attention sur l’urgence de la mise en place de politiques permettant un aménagement plus efficace et plus juste de la demande de reconnaissance émanant des autres. Ont contribué à ce volume collectif: Roque Javier Avellaneda (Universidad Nacional de Tucumán, Argentine) Fernando Andacht (Unisinos, São Leopoldo, Brésil) Lise Boily (Université d’Ottawa) Daniel Castillo Durante (Université d’Ottawa) Annie Lise Clément (Université d’Ottawa) Heather Cullen (Université d’Ottawa) Amy D. Colin (University of Pittsburg, États-Unis) Nathalie Dumas (Université d’Ottawa) Irene Fonte (Universidad Autónoma Metropolitana, Mexique) Patrick Imbert (Université d’Ottawa) Adriana Rizzo (Universidad Nacional de Río Cuarto, Argentine) Claire Roberge (Université McGill) Rodney Williamson (Université d’Ottawa)