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Les technologies modernes (numérisation des textes, développement de logiciels de traitement automatique de l’information et, plus spécifiquement, l’accès au Web ouvrent des perspectives nouvelles aux études en ancien et moyen français. Elles dynamisent l’expérience philologique, intègrent les recherches actuelles en linguistique et donnent un accès immédiat à une multitude de savoirs que l’utilisateur active à son gré et selon ses besoins. Les textes rassemblés dans ce volume (qui portent sur l’établissement de bases textuelles, la confection de lexiques et divers types d’analyse linguistique) explorent ces nouveaux outils méthodologiques et fournissent des illustrations d’utilisation sur des cas particuliers. Il s’agit bien d’une mise au point, mais envisagée comme un questionnement méthodologique sur les possibilités et les enjeux. Sous la direction de Pierre Kunstmann Ont contribué à ce recueil : Étienne Brunet (U. de Nice) Danielle Forget (U. d’Ottawa) Hiltrud Gerner (ATILF, Nancy) Martin-Dietrich Glessgen (U. de Zurich) Céline Guillot (ÉNS, Lyon) Ineke Hardy (U. d’Ottawa) Serge Heiden (ÉNS, Lyon) Madeleine Jeay (U. McMaster) Pierre Kunstmann (U. d’Ottawa) Daniel Labonia (U. d’Ottawa) Yvan Lepage (U. d’Ottawa) France Martineau (U. d’Ottawa) Cinzia Pignatelli (CÉSCM, Poitiers) Geoffrey Rockwell (U. McMaster) Lene Schøsler (U. de Copenhague) Gilles Souvay (ATILF, Nancy) Achim Stein (U. de Stuttgart) Leslie Zarker Morgan (Loyola College)