Prix du livre d'Ottawa (fiction), 2013

Prix Christine-Dumitriu-Van-Saanen, 2013

Finaliste, Prix Trillium 2013

Finaliste, Prix des lecteurs Radio-Canada 2013

Finaliste, Prix Handi-Livres 2013

Prix LeDroit (roman), 2014

Prix Émergence-AAOF, 2014

J'ai été morte. Les médecins m'ont ramenée à la vie mais, pour Raymond Larose, mon père, je n'ai toujours été qu'une morte vivante. L'essentiel lui échappe : il refuse de voir qu'il en va de la beauté comme des bavoirs, que tout ce qui vole n'a pas deux ailes, et que le réel s'apprête comme la dinde.

Corinne est une fillette lourdement handicapée. Elle ne peut ni bouger — ou si peu — ni parler. À travers ses yeux, néanmoins très lucides, nous sommes témoins de ses petites victoires, mais aussi des exigences, des soucis et des déchirures que son état finit par entraîner dans sa famille. Son désir le plus cher : vivre malgré les différences...

Un regard neuf et émouvant sur les peines, les limitations, mais aussi les joies d'une enfant pas comme les autres, qui ébranle nos conceptions de la normalité.

Cliquez sur le lien suivant pour visiter la page Facebook du livre :

https://www.facebook.com/UnJourIlsEntendrontMesSilences?ref=profile

Un jour, ils entendront mes silences est peut-être bien de la trempe des œuvres intemporelles.

Martin Prévost, Paraquad, printemps 2014

Un jour, ils entendront mes silences nous propose non seulement une vue de l'intérieur sur le fait de vivre avec un handicap, mais aussi une critique des pièges de la médicalisation et de la normalisation. L'auteure le fait sans prétention, dans une écriture ponctuée d'images pleines de poésie. Les titres des chapitres, énigmatiques et drôles, semblent annoncer des fables et on a hâte de découvrir à chaque fois la morale de l'histoire.

Club des irrésistibles, Bibliothèque de Montréal, http://irresistibles.bibliomontreal.com/un-jour-ils-entendront-mes-silences

Il faut prendre le livre là où il se pose : sensible et efficace sans être simpliste, se roman de Marie-Josée Martin renoue avec ce dessein qu'ont parfois les romans. En effet, ici, littéralement, l'art romanesque donne la parole aux sans-voix.

David Bélanger, Liaison, n° 158, Hiver 2012, p. 59

C'est un sujet superbe écrit avec une maestria. Nous vous le disons, ici nous sommes en présence d'un très grand roman.

Culturehebdo.com, novembre 2012, http://www.culturehebdo.com/livres.htm

Ce livre pousse à aborder des sujets qui ont en commun la particularité de semer un inconfort lorsqu'il en est question. Le livre incite entre autres à réfléchir sur le regard que l'on pose d'abord en tant que société et aussi en tant qu'individu sur les personnes handicapées qui nous entourent.

Pascale Castonguay, Francopresse.ca, 7 novembre 2012

http://francopresse.ca/index.cfm?Voir=article&Id=66511&secteur=430&M=2942

Un livre touchant, émouvant, bouleversant, de la première à la dernière page. Même après avoir refermé le livre, je suis toujours habitée par l'histoire de Corinne. Chapeau à cette jeune auteure, pour ce roman d'une si grande intensité.

Geneviève, Pause lecture

 Un article sur les 13e Prix des lecteurs Radio-Canada:

http://www.ledevoir.com/culture/livres/375006/d-une-parole-a-l-autre

La jeune auteure a une fine plume ; avec maturité, elle nous oblige à regarder en face la diversité humaine. [...] Il vous sera facile de lire ce roman d'un trait. La fin ne vous laissera pas indifférent ; vous serez ému et bouleversé. Je recommande cette lecture aux jeunes du secondaire et à tout adulte désirant vivre un moment empreint de riches émotions et prêtant à la réflexion.

Shane Drugas, Pour parler profession, juin 2014, p. 57

Brisant les tabous dictés par la pudeur, la peur et les normes coutumières de la bienséance, la jeune narratrice est la voix de la raison, la plus humaine, la plus conciliante de la maisonnée. (...) Un jour, ils entendront mes silences est un roman transpercé de lucidité.

Gabrielle Bonifaci, Voix plurielles, 2014